Le bondage est source de plaisir, amusant et, surtout, sûr, tant que vous êtes à la fois conscient de vos rôles et que vous ne franchissez jamais la ligne.
La personne liée trouve cela excitant parce que cela lui donne l'occasion d'être " paresseuse " mais d'obtenir toute l'attention en même temps ; la seule chose qu'elle a à faire est de se détendre et de profiter de ce que son partenaire lui a réservé pour la soirée.
Il y a aussi le plaisir du suspense, d'attendre de voir ce qui va se passer ensuite, où le dominateur va décider de toucher et comment il va le faire. L'esclavage consensuel, convenu, donne à celui qui est dominé un paradoxe des sentiments, qui est perçu avec beaucoup d'enthousiasme par les amants d'une telle activité sexuelle ; il vous met dans un état de vulnérabilité, mais vous donne aussi la sécurité, car celui qui le fait est une personne aimée et digne de confiance. C'est une sorte d'abandon calme et serein. Un abandon qui engendre de nouveaux sommets d'excitation sexuelle.
Pour celui qui fait le " lien " (avec les cordes et attaches) , cependant, il s'agit plutôt de pouvoir dans sa forme physique et psychologique la plus pure. Personne d'autre que vous n'est vraiment en charge dans ce scénario érotique particulier. L'attrait visuel d'avoir un contrôle total sur l'autre, de l'attacher et de l'écouter mendier sa « miséricorde » est indéniable. Son corps est là pour vous taquiner et vous faire plaisir comme bon vous semble.
Le bondage gagne en popularité, mais il y a beaucoup d'idées fausses à son sujet. Voici les quatre contrevérités que vous ne saviez pas à propos du bondage.
Les adeptes du BDSM sont des pervers
Les gens impliqués dans le BDSM (bondage, discipline, sadomasochisme) ne sont pas des pervers qui aiment faire du mal aux autres, c'est un préjugé plus vieux que Bouddha mais il y a encore des gens qui pensent comme ça. Chaque couple peut expérimenter le bondage s'il est déterminé à changer le cadre "vanille" de sa vie amoureuse avec quelque chose de plus chaud et plus épicé. L'exploration de votre sexualité est quelque chose qu'il faut désirer et non pas ostraciser.
Les sextoys BDSM sont violents
En soi, aucun jouet sexuel n'est jamais violent ou abusif. La façon dont vous choisissez de les utiliser peut l'être, cependant. Si vous donnez une fessée à votre petite amie ou l'attachez au lit sans son consentement initial, alors vous avez de gros ennuis, monsieur, mais nous n'avons pas besoin que nous vous le disions. Si votre action et votre intention sont inoffensives, le jouet l'est aussi. Si vous l'utilisez avec soin et de la façon dont il doit être utilisé, la seule "violence" que vous obtiendrez est celle de l'orgasme de votre partenaire.
Le BDSM une dépendance
Les personnes ayant des tendances obsessionnelles-compulsives deviennent dépendantes de leur propre comportement, quel qu'il soit. L'esclavage n'est pas une maladie ou une drogue. Si vous avez un fétichisme pour ce genre d'activité sexuelle, il est normal de vouloir le faire plus souvent qu'autrement, et si votre partenaire y consent ou l'aime autant que vous, le bondage peut être exploré aussi longtemps que vous voulez, sans être considéré comme une dépendance.
Les gens qui aiment le BBDSM ont été maltraités
L'esclavage n'est pas un crime et les gens qui veulent en faire l'expérience ne devraient pas se sentir coupables. Tant que vous en êtes bien informé, prenez la responsabilité de votre plaisir et n'écoutez pas les voix autoritaires traditionnelles qui appartiennent au passé, il n'y a aucun problème.
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